ALICE PRÉSENTE SON PREMIER EP DU LOVE À REVENDRE
Après avoir révélé les exaltantes Le vent est de ton bord et Jusqu’à ce que la marde nous sépare, c’est aujourd’hui qu’ALICE lève le voile sur Du love à revendre, un premier mini-album qui voit le jour sous l’étiquette Costume Records. Munie de son piano et d’une affection sans équivoque pour le rock et ses multiples possibilités, ALICE signe ici une collection de cinq pièces aussi mordantes que sensibles, dans lesquelles les déroutes amoureuses croisent la chaleur des rythmes seventies, le tout sous le regard aguerri d’Alex Burger à la réalisation.
Alors que l’idée d’un projet solo effleurait son esprit depuis un bon moment, c’est lorsque le monde s’est mis sur pause il y a quelque temps déjà que l’autrice-compositrice-interprète s’est affairée aux esquisses de ce premier EP. Entre les histoires de cœur foireuses et l’envie de renouer avec le son iconique du Wurlitzer, ALICE donne le ton à cette première proposition solo qui emprunte autant au classic rock des années 70 (Du love à revendre, Jusqu’à ce que la marde nous sépare), qu’aux airs rafraîchissants des années 60 (Le vent est de ton bord), ou encore à la mélancolie des hymnes country (Dynamite, Mood swings). En résulte un ensemble de pièces groovy et résolument entêtantes, portées par les textes doux-amer d’ALICE, sous les bons conseils de Stéphane Lafleur (Avec pas d’casque).
Quand tes yeux tombent sur mes yeux, les jambes me lâchent Ma langue est pleine de nœuds, je fais pu aucun sens Toutes sortes d’envies multicolores se bousculent dans ma tête Entends-tu mon désir lancer des roches à ta fenêtre
Je roule à toi, si tu roules à moi
Je rêve d’un amour qui recule pas
Viens à moi, viens me prendre
J’ai du love à revendre
Mais si t’as le moonwalk facile, j’vas surtout pas t’attendre
- Du love à revendre
Avec le désir de prendre le temps de bien faire les choses, la musicienne et chanteuse s’entoure de Steven Gibb et Jean-Bruno Pinard à la prise de son et au mixage au cours de l’année 2021 pour enregistrer les cinq pièces. Au Lites Down Studio, ainsi qu’aux Studios Greenroom, elle réunit David Marchand (zouz, Laurence-Anne, Mon Doux Saigneur, Alex Burger) à la guitare électrique, Paul Dawson (Canailles) à la guitare acoustique, Eliott Durocher Bundock (Mon Doux Saigneur, LUMIÈRE, Alex Burger) à la basse et Étienne Côté (LUMIÈRE, Bon Enfant, Canailles) à la batterie. Ses « Estis de Boys », comme elle aime les appeler, qui l’appuient également aux arrangements des pièces, avec la collaboration d’Alex Burger.
Saisir la brise au moment où elle passe, c’est ce qu’ALICE nous propose avec Du love à revendre, disponible dès aujourd’hui en format vinyle et numérique. Il sera d’ailleurs possible d’entendre les pièces de ce premier mini-album sur scène lors de son lancement le 18 novembre prochain au Quai des Brumes à Montréal, dans le cadre du festival M pour Montréal.
À propos — ALICE
Connue principalement comme membre de la troupe folk Canailles avec qui elle a officié à l’accordéon de 2010 à 2019, Alice Tougas s’affaire aux esquisses d’un projet solo — parallèlement devenu un exutoire pour ses amours foireux — dans les dernières années du groupe. Elle s’éloigne de ses habitudes folk pour aller puiser dans le country, le soul et le classic rock, renouant avec le Wurlitzer, dont les chaudes sonorités ont donné le ton au projet ALICE (oui, tout en majuscules).
Épaulée par ses musiciens, cordialement nommés « Les Estis de Boys » (David Marchand, Paul Dawson, Eliott Durocher-Bundock, Étienne Côté et Alex Burger - ce dernier agissant aussi à titre de réalisateur), elle a façonné une première collection de pièces, dont elle signe la musique et les textes (conseillée sur ce dernier point par Stéphane Lafleur). Ce premier mini-album de cinq titres, intitulé Du love à revendre, est disponible dès maintenant via l’étiquette Costume Records.